Une rencontre fortuite : Troisième partie.

Je précise pour ceux qui prenne le train en route, que ce texte est une pure fiction ! Si cela devrait arriver réellement, ce ne serait pas excitant... Mais alors pas du tout !

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Partie I
Partie II
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Partie III

Elle semble vouloir résister, elle s'efforce de le regarder froidement... Mais elle mouille comme une petite traînée excitée à l'idée de se faire défoncer par un inconnu.

Il enfonce en elle ses doigts et sent les spasmes qu'elle tente de retenir. Son autre main parcourt ses fesses en évaluant le galbe, les écartant un peu, il se penche vers elle et lui chuchote qu'il aurait bien envie de la fister, là, maintenant, sans autre lubrifiant que sa mouille et sa salive. Qu'il est sûr qu'une petite dépravée comme elle adorerait être ouverte de sa main..

" Mais ce serait dommage de te dilater autant avant d'avoir pu te baiser... Car j'espère qu'avec le froid et le stress ta petite chatte soit serrée comme celle d'une pucelle. Malheureusement pour moi, il semble que ce ne sera pas le cas, tu mouilles déjà comme une chienne... "

Elle sent son gland au bord de ses lèvres trempées, se frotter et bientôt pousser afin que sa queue soit logée en elle jusqu'à la garde, elle ne pu s'empêcher de lâcher un soupir et cacha mal son plaisir de le sentir en elle. Il la pilonne sans ménagements, en mettant ses doigts au fond de sa bouche, lui ordonnant de les sucer pendant qu'il la défonce, de goûter sa mouille... Ses lèvres entrouvertes laisse soudain s'échapper les premiers gémissements de plaisir.

Un plaisir ambigu, mêlé de peur, de douleur car chaque coup de boutoir la pousse violemment contre ces vieux pneus sales... Il ne la baise pas, il l'a défonce sans la moindre retenue, seul son plaisir à lui compte, le reste importe peu... Elle se sent tel un morceau de chair entre ses mains, utilisée, passive et manipulée. Il l'a prend comme une brute, et bientôt sa main claque sur ses fesses. Elle crie mais il lui somme de se taire, il écarte ses fesses, regarde ce cul ouvert et y dépose de la salive, crachant sur son petit trou...

Il se baisse et elle sent son torse lourd appuyé contre son dos, ses mains saisir ses seins et sa bouche approchée de son oreille en lui susurrant qu'il l'enculera plus tard... Il a d'autres projets pour le moment...

Ses mouvements s'accélèrent et son souffle devient court, sa jouissance arrive mais il se retire pour se répandre sur son cul, il écarte ses fesses et étale son sperme sur son anus, y entre un doigt alors qu'elle sent sa main la saisir à la gorge et serrer... Serrer, comme s'il voulait en finir, l'étrangler.

Elle ne se rappellera que d'un mouchoir plaqué contre son nez et d'une odeur chimique... Puis plus rien.

A suivre...
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Vulpès, esclave et propriété de Maître Björn.